Réplique au billet intitulé : L’éthique du cryptojacking ?

Module 7: billet 2

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La cryptojacking est une nouvelle forme de menace pour la cybersécurité et la protection de renseignements personnels des utilisateurs. Elle constitue une manne d'argent colossale pour les Cyber-délinquants. Elle est plus discrèteque le rançongiciel, mais aussi potentiellement plus lucrative dans la durée,cette nouvelle menace apparaît promise à un bel avenir.

On ne peut pas parler d’éthique si quelqu’un prend possession d’un ordinateur d’une autre personne à son insu pour dans le but de faire de l’argent. Il s’agit tout simplement d’un vol caractérisé et violation de la vie privée d’autrui.      Au contraire, une telle action est contre l’éthique et la morale, car une personne peut s’enrichir au détriment d’une autre sans qu’elle ne le sache et sans aucune autorisation. Elle permet le détournement de ressources d’un ordinateur via le navigateur Web dont l'objectif principal est de ramasser de l'argent illégalement. C’est une pratique qui ne peut être que condamnable. On ne peut pas rendre une telle pratique conforme aux principes et valeurs de la société si au départ elle est basée sur le vol et l’enrichissement sur le dos des autres. Pour moi, autoriser une telle action c’est comme légaliser le vol. On peut pardonner à quelqu’un qui a volé pour subvenir à sa fin, mais on est tous d’accord que le vol est un acte rejeté par toutes les sociétés. 

Je ne suis pas d’avis que la cryptojacking peut être reconsidérée si au préalable une autorisation est demandée. Si tel est le cas, on est plus dans la cryptojacking, mais plutôt dans une autre situation où deux parties sont liées par une entente ou un contrat dans une perspective d'exploiter des ressources personnelles moyennant une compensation financière. Il peut s'agir à titre d'exemple d'une publicité ou location d'un espace personnel.